Avec "Tout doit disparaître", une braderie délibérément mise en scène, je me range du côté de la congrégation St. Michaelis, qui craint pour la préservation de son église. Qu'est-ce qui disparaît quand "tout est sorti" ? Que ce passe t-il après? Ces questions se posent lorsque les gens, attirés par les panneaux publicitaires et les annonces dans les journaux, envahissent la nef de l'église en été, comme ils le font habituellement à Noël, dans l'espoir de ramener chez eux une bonne affaire. Car une chose est claire : la plupart des gens aiment faire du shopping plus qu'aller à l'église. Avant tout, je voudrais engager une réflexion sur la préservation de l'église Saint-Michel, qui me tient à cœur : que vaut pour nous « notre église » ?